Autres curiosités

Le patrimoine briard est plein de surprises. Mais peu d’entre nous le connaisse réellement. Avec la participation de l’association des Amis du Vieux Château, partez à la (re)découverte de cette richesse.

Les nichoirs de l’association Connaître et protéger la nature

Les enfants de l’association ont fabriqué des nichoirs disposés à l’arrière du local situé sur le chemin des Roses, en bordure de forêt.

Le tableau de Sauveur Le Conte

Retiré dans son château de Chantilly, le prince de Condé consacra ses dernières années à aménager sa demeure dont une grande galerie destinée à recevoir un ensemble de peintures évoquant ses hauts faits militaires.

Pierre tombale de Pierre et Marguerite Germain

Cette stèle fut découverte en 1858 à l’emplacement de l’ancien cimetière autour de l’église Saint-Étienne.

L'eau à Brie

Ces points d’eau sont situés aux adresses suivantes : 7 allée des Ornes, 2 allée du Ruisseau et allée des Violettes.

Vitrail de la Médiathèque

Ce vitrail est situé dans la partie ancienne de la médiathèque, donnant sur la place des Déportés.

La façade de l'Hôtel-Dieu

La façade du centre d'art Hôtel-Dieu (XIIIe siècle) se développe en bordure de la rue des Halles.

Vitrail de l'église

Parmi les vitraux de l’église Saint-Étienne de Brie-Comte-Robert, celui de la chapelle de la 7e travée du bas-côté sud a été réalisé sur les cartons de Gilles Rousvoal par l’atelier Duchemin en 2003.

Les boute-roues et l'impasse dîmeresse

L’impasse Dîmeresse, située perpendiculairement à la rue de l’Église, est l’une des plus anciennes rues de Brie.

Pierre de la poterne

Dans le mur d’escarpe du château, au bord du fossé en eaux et près de la tour de Brie, une poterne permettait l’accès aux douves.

L'ancienne église

Grâce aux archives du VIe siècle, nous savons qu’à l’emplacement de la place Gauthier se trouvait un petit édifice cultuel.

Dalle au sol de l'église Saint-Étienne

En 2012, grâce à des fouilles archéologiques entreprises par les Amis du Vieux Château, le sol de l’église a livré de nombreuses surprises.

La rue du Tripot

Le tracé de la rue de l’Église remonterait au XIIIe siècle, lors de la construction de l’église Saint-Étienne.

La cheminée de la salle du château

Le rez-de-chaussée de la plus grande salle du logis seigneurial du château de Brie-Comte-Robert abrite une cheminée dont les deux bases de colonnettes sculptées (XIIe siècle) étaient encore en place, mais en très mauvais état de conservation, dans les années 1980.

Boucherie chevaline

Parmi les nombreux commerces du centre-ville au siècle dernier, on comptait une boucherie chevaline au 21 rue de l’église.

Le lutrin de l'église

Situé à l’entrée du chœur de l’église Saint-Étienne, ce lutrin en forme d’aigle servait de pupitre pour soutenir les livres de chants (aujourd’hui, il est plutôt utilisé pour soutenir l’Évangile).

La niche du Saint-Fiacre

Ce moine d’origine écossaise connaît une importance particulière dans la Brie.

La sculpture de Jean-Philippe Delacour

Si vous vous rendez place Moutier au croisement de la rue du Beau Guillaume et de la rue de la Grenouillère, vous pourrez alors observer une curieuse sculpture métallique inaugurée en l’an 2000.

La tour est du château

Voici un aperçu du premier étage de la tour est du château de Brie-Comte-Robert dont la fenêtre a été aménagée au XIVe siècle.

La plate-tombe d'Agnès de Lauzanne

L’Hôtel-Dieu du XIIIe siècle, accueillait et hébergeait les voyageurs fatigués et les pauvres. Au XVIe siècle, sa mission s’étend à l’assistance des malades.

Saint-Paul et Saint-Jacques

Ces deux personnages se trouvent dans la chapelle des apôtres (5e travée) située dans le bas-côté nord de l’église Saint-Étienne.

Le château du Vaudoy

Aux XVIIe et XVIIIe siècles, Brie voit apparaître différents ensembles composés de belles demeures et de parcs à l’extérieur du bourg ancien.

Les vestiges de l'église des Minimes

Né en Calabre au XVe siècle, François de Paule, est un religieux italien qui consacrera sa vie aux soins des plus pauvres.

L'ancienne gare de Brie

La gare de Brie accueillait autrefois le fameux « train des roses ».

La stèle d'Arthur Chaussy

Vous avez sans doute reconnu la stèle commémorative d’Arthur Chaussy présente dans le parc de la mairie.

Le cèdre du Liban

Suite à la guerre civile au Liban qui a débuté le 13 avril 1975, M. Thieffry, un Briard, s’est intéressé de plus près à ce pays.

La maison du château

Cette maison bourgeoise fut construite sur la tour Saint-Jean, tour maîtresse détruite intentionnellement pour ce projet en 1879.

La cheminée du château

Le château de Brie présente de nombreuses cheminées, comme celle de la salle C, comprenant un four à pain.

Les anciens remparts

Cette photographie bucolique, mêlant le minéral et le végétal, a été prise dans le petit square de la grenouillère, parc longeant les anciens remparts de la ville.

Les Bains-Douches

Ce bâtiment en briques rouges, abrite actuellement l’Office du Tourisme et du Commerce de la ville.

Street Art

Vous pouvez découvrir cette peinture murale sur une porte de garage située à côté de la médiathèque, dans la rue du Beau Guillaume.

Le vieux lavoir

La carte postale du lavoir date des années 1900.

Le vitrail de l'Église

Ce mois-ci, la devinette nous fait découvrir un magnifique dragon aux couleurs vives et chatoyantes à l’œil rouge et aux dents pointues.

La Place des Fêtes

Cette jolie prairie qui servait de pâture à des moutons n’est d’autre que notre actuelle Place des Fêtes.

Les rus de Brie

Trois rus dominent le relief local de la commune : le ru du Saule à la vielle au nord-ouest, le ru du Tuboeuf au nord et le ru des Ecorcheries à l’est.

50 ans d’histoire des automobiles Chappe & Gessalin

Lors du 4e salon de collection et d’exception qui a eu lieu le dimanche 10 avril 2016, les automobiles Chappe et Gessalin ont fêté leurs 50 ans.

La fresque de l'ancienne piscine

Dans le cadre du Printemps de l’Art Urbain, retrouvons notre patrimoine artistique urbain au travers de la fresque de Vincent Descotils.

L'araucaria du Chili

Pour célébrer l’arrivée du printemps, découvrons l’arbre nouvellement planté par la ville au jardin des Bienfaîtes.

Le baptême de Clovis

L’église Saint-Etienne fut édifiée entre la fin du XIIe siècle et le début du XIVe siècle. Au vu de son grand âge, la belle dame méritait bien une grande restauration, commencée en 1997.

Tombe du Général Baltus

Il y a 250 ans naissait Basile Guy Marie Victor Baltus de Pouilly (1766-1845), général de l’Empire. Il repose désormais dans la partie la plus ancienne du cimetière de la ville.

L'assommoir

Patrimoine majeur de notre ville, le château recèle encore bien des mystères. En passant par la porte de Brie (entrée sud-ouest, côté marché), n’hésitez pas à lever la tête pour découvrir un important moyen de défense du château : l’assommoir.

Les cloches de Brie

Louise-Marie (0m87 hauteur pour 1m05 de diamètre à la base), Ferdinande-Cécile (1m08 hauteur pour 1m20 à la base) et Etiennette-Alexandrine-Charlotte (1m16 hauteur pour 1m30 à la base) rythment la vie des Briards depuis juillet 1824.

Le monuments aux morts

Installé en 1921 au carrefour d’axes fréquentés comme la nouvelle gare de Brie, à l’emplacement du tram à betteraves de la sucrerie de Chevry-Cossigny, désaffecté pour l’occasion, le monument aux morts de Brie était visible de tous pour glorifier le souvenir des 104 enfants briards morts au cours de la guerre 1914-1918.

Complexe sportif Jules-Ferry

Prise depuis la rue des Écoles qui doit son nom aux groupes scolaires qui s’y sont succédé, la photographie représente un détail de la salle des sports, inaugurée en 2003 et construite par l’atelier d’architecture Jean-Pierre Sausset.

La rue Jean Congy

Comme toutes les rues médiévales du centre-ville, la rue Jean Congy mène, depuis la porte Beau-Guillaume (actuelle place Moutier), au poumon économique du bourg : la place du Marché.

Les gargouilles de l'Église Saint-Étienne

Quand vous déambulerez dans la rue de l’église et le long de la place des Déportés, admirez les gargouilles qui surplombent majestueusement Brie.

Les roses du jardin des bienfaîtes

Au fond de la place Stadtbergen, du nom de la commune allemande avec laquelle Brie-Comte-Robert est jumelée depuis 1987, se situe le jardin des Bienfaîtes avec ses roses.

Hôtel de ville de 1786 à 1942

Place des déportés, l’imposante bâtisse représentée sur la photographie accueille depuis le XVIIIe siècle de nombreux services publics.

Le grenier à sel

Au 2, rue de la Madeleine, se trouve un porche en grès dont l’arc est en plein cintre et orné de ferrures forgées représentant deux fleurs de lis (ou fleurdelisées).

Les girouettes

La photographie représentait la girouette située sur le puits devant l’arrêt de bus Rendez-vous Château.